Le mois de mai est un mois extraordinaire. C'est un mois peu "productif". Entre formation, jours et fériés et autres apparitions de l'astre solaire qui présupposent un départ précipité de son lieu de travail, on peut vraiment faire ce qu'on veut... Et dire qu'il reste encore deux jours fériés dans ce mois... finalement, en France, le lundi de Pentecôte est moins intéressant :-p
En fait, on ne fait pas vraiment tout ce que l'on voudrait. Mais ce n'est pas la faute au mois de mai. C'est plutôt parce qu'il n'y a que 24 heures dans une journée
dimanche 15 mai 2005
jeudi 12 mai 2005
J'aime mon chef, ça vous étonne ??? (suite et fin)
Pour ceux qui attendaient (?) la fin avec impatience... La voilà enfin !!!
J'aime mon chef pour beaucoup de raisons... Après avoir lu les précédents épisodes, vous conviendrez aisément que cette personne est très axée "management des individualités", beaucoup moins axée sur la productivité (l'un a un effet non négligeable sur l'autre, mais là, je m'égare...). Bref, entretien de fin de période d'essai. Un grand moment dans ma vie de "jeune cadre dynamique" (pouf pouf). Ayant déjà eu un apreçu de ce dont il était capable, je n'étais pas au bout de mes surprises.
De voilà... j'entre dans son bureau, ne sachant pas quoi penser. Être sérieux, détendu, etc... C'est mon premier entretien de ma carrière (oui, je n'ai jamais passé aucun entretien... même téléphonique). Comme à son habitude, il commence par un
Alors, je lui explique ma théorie (oui oui, je n'ai pas peur du ridicule!) et v'la ti pas qu'il m'approuve à 100% et me confie la lourde tâche d'"organiser des pauses café régulièrement afin d'amener les gens à mieux se connaître". Je vous le concède, c'est contraignant et ce n'est pas évident tous les jours de faire bouger ces vieux Birkenstockträger... mais là, je m'égare. Ce concept, je l'expliquerai plus tard. Sûrement cet été quand les shorts seront apparus dans les couloirs.
Revenons à mes moutons... Alors, mon chef, je l'aime bien parce que c'est quelqu'un de franc, direct, qui ne crache pas dans ses mains. Et ça, j'apprécie par dessus tout.
Et puis, il faut aussi qu'on court un semi-marathon ensmble un de ces quatre...
J'aime mon chef pour beaucoup de raisons... Après avoir lu les précédents épisodes, vous conviendrez aisément que cette personne est très axée "management des individualités", beaucoup moins axée sur la productivité (l'un a un effet non négligeable sur l'autre, mais là, je m'égare...). Bref, entretien de fin de période d'essai. Un grand moment dans ma vie de "jeune cadre dynamique" (pouf pouf). Ayant déjà eu un apreçu de ce dont il était capable, je n'étais pas au bout de mes surprises.
De voilà... j'entre dans son bureau, ne sachant pas quoi penser. Être sérieux, détendu, etc... C'est mon premier entretien de ma carrière (oui, je n'ai jamais passé aucun entretien... même téléphonique). Comme à son habitude, il commence par un
"Bon, comme je suis content de ton travail, tu as 5% d'augmentation. C'est le maximum que l'on peut donner cette année. C'est tout ce que j'avais à te dire. Sinon, parle moi un peu de toi et tes impressions."Un brin déstabilisant quand on ne s'y attend pas... Alors, sans me démonter, je lui dis ce que je pense. Entre deux personnes dangereusement directes, j'ai pensé qu'on pouvait arriver à un compromis. Alors, j'enchaîne sur l'autisme maladif de mes collègues de travail, l'ambiance parfois dégradée qui flotte dans les couloirs, etc. Ben oui, parce que j'ai développé une théorie. Là où je travaille, il y a des catégories de personnes: les Kaffeeabholer et les Kaffeetrinker. Très clairement, j'appartiens à la 2ème catégorie à condition de ne pas se retrouver seul comme un c?? à côté de la machine (qui soit dit en passant fait d'excellents Cappuccinos). Oui oui. Parce qu'il y a des gens avec qui je travaille qui considère que faire une pause café, c'est se lever, aller jusqu'à la machine à café, prendre le café et retourner devant son écran. J'vous raconte pas, l'échange est monumental. On apprend vraiment mieux à connaître les personnes comme ça!!
Alors, je lui explique ma théorie (oui oui, je n'ai pas peur du ridicule!) et v'la ti pas qu'il m'approuve à 100% et me confie la lourde tâche d'"organiser des pauses café régulièrement afin d'amener les gens à mieux se connaître". Je vous le concède, c'est contraignant et ce n'est pas évident tous les jours de faire bouger ces vieux Birkenstockträger... mais là, je m'égare. Ce concept, je l'expliquerai plus tard. Sûrement cet été quand les shorts seront apparus dans les couloirs.
Revenons à mes moutons... Alors, mon chef, je l'aime bien parce que c'est quelqu'un de franc, direct, qui ne crache pas dans ses mains. Et ça, j'apprécie par dessus tout.
Et puis, il faut aussi qu'on court un semi-marathon ensmble un de ces quatre...
dimanche 8 mai 2005
Au secours !!!
Toute la journée, je me suis arraché les cheveux... Non non, je ne suis pas encore chauve, rassurez-vous. Simplement, quelqu'un saurait-il comment on peut intégrer un forum phpBB dans un site bricolé avec SPIP.
L'idée est la suivante:
Je vous le dis, y'a du pain sur la planche pour résoudre ce problème... alors, si vous avez un tuyau, je suis preneur.
L'idée est la suivante:
On voudrait pouvoir visualiser le menu principal (crée dynamiquement avec SPIP) mais également l'index du Forum sur la même page. Un peu la manière des modules de phpNuke si vous voyez ce que je veux dire...Il semblerait que l'inclusion proprement dite de l'index du forum ne fonctionne pas vraiment (problème d'en tête générée de manière concurrente (spip avant phpBB ou inversement). Aïe aïe aïe...
Je vous le dis, y'a du pain sur la planche pour résoudre ce problème... alors, si vous avez un tuyau, je suis preneur.
mardi 3 mai 2005
Pêle-mêle
Me croiriez-vous si je vous disais que je n'ai pas beaucoup de temps pour écrire, que je n'ai pas envie d'écrire des niaiseries sur mon quotidien, que j'ai pourtant plein de choses à faire partager (sur la Constitution, sur les fêtes du 1er mai ici, etc.) mais que le temps fait parfois défaut?
J'vous l'dis: avoir une vie sociale, c'est chronophage. Et je préfère regarder derrière la lucarne que dans celle-ci. M'en veuillez pas.
J'vous l'dis: avoir une vie sociale, c'est chronophage. Et je préfère regarder derrière la lucarne que dans celle-ci. M'en veuillez pas.
Histoire de pouvoir donner son avis...
Être à l'étranger n'est pas un avantage pour être reconnu en tant que citoyen français. Et pourtant, il paraît qu'il existe une ambassade, des consulats. Il paraît même que l'on peut s'y inscrire. Ces organismes ont pointé le bout de leur nez face à la montée du Non au référendum... On se demande bien ce qui a pu motiver une telle réaction de leur part. Vraisemblablement l'envie de glaner des électeurs de ci et de là. Ces mêmes élécteurs qui sont pour la plupart foncièrement pour le Oui étant donné qu'ils vivent à l'étranger.
L'Etat français a donc, semble-t-il, été à la pêche aux électeurs. Cette pêche, si elle sera sûrement bonne, n'en sera pas moins surprenante. Qui peut prédire l'issue de ce vote. En tout cas, le Consulate de Stuttgart est en tournée dans tout le Baden-Württemberg pour justement faciliter les demandes de procuration. Plus obligé d'aller à Stuttgart et de perdre la journée.
Faire une procuration, c'est un geste que j'ai répété maintes fois lorsque j'étais étudiant. Cela fait plus de quatre ans que je ne suis pas allé voter en personne. (D'ailleurs, Maman, si me lis, merci beaucoup :)) Les hasards du calendrier... C'est dire si je commence à connaître la procédure. Aujoud'hui, elle était toute autrement différente. Plus la peine de passer un interrogatoire au commissariat, de donner pièces justifiant l'impossibilité d'être présent le jour du vote, c'est dans une école française que tout s'est déroulé. Pas de demande de pièce d'identité (?), trois volets à remplir. Bref, tout paraîssait naturel... De là à me demander si cette facilité à faire une procuration n'est pas motivée par l'objectif de mobiliser les electeurs.
Maintenant, je vais pouvoir dire Oui à la Constitution. Parce qu'ici plus qu'en France, elle me regarde et régit mon quotidien. Les accords de Schengen m'ont déjà permis d'ôter une belle épine du pied en supprimant nombre de formulaires et d'interrogatoires... L'Euro est un plaisir quotidien. Cette constitution, je l'éspère, donnera plus de voix à la France en Europe ainsi qu'aux Français à l'étranger. Même à l'étranger, je suis toujours un citoyen français.
L'Etat français a donc, semble-t-il, été à la pêche aux électeurs. Cette pêche, si elle sera sûrement bonne, n'en sera pas moins surprenante. Qui peut prédire l'issue de ce vote. En tout cas, le Consulate de Stuttgart est en tournée dans tout le Baden-Württemberg pour justement faciliter les demandes de procuration. Plus obligé d'aller à Stuttgart et de perdre la journée.
Faire une procuration, c'est un geste que j'ai répété maintes fois lorsque j'étais étudiant. Cela fait plus de quatre ans que je ne suis pas allé voter en personne. (D'ailleurs, Maman, si me lis, merci beaucoup :)) Les hasards du calendrier... C'est dire si je commence à connaître la procédure. Aujoud'hui, elle était toute autrement différente. Plus la peine de passer un interrogatoire au commissariat, de donner pièces justifiant l'impossibilité d'être présent le jour du vote, c'est dans une école française que tout s'est déroulé. Pas de demande de pièce d'identité (?), trois volets à remplir. Bref, tout paraîssait naturel... De là à me demander si cette facilité à faire une procuration n'est pas motivée par l'objectif de mobiliser les electeurs.
Maintenant, je vais pouvoir dire Oui à la Constitution. Parce qu'ici plus qu'en France, elle me regarde et régit mon quotidien. Les accords de Schengen m'ont déjà permis d'ôter une belle épine du pied en supprimant nombre de formulaires et d'interrogatoires... L'Euro est un plaisir quotidien. Cette constitution, je l'éspère, donnera plus de voix à la France en Europe ainsi qu'aux Français à l'étranger. Même à l'étranger, je suis toujours un citoyen français.
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